Trois pères étrangers qui ont reçu des conseils de l'APFS et de son directeur représentant, Kato, ont tenu une conférence de presse au Club des correspondants étrangers du Japon.
Plus de 2,1 millions d'étrangers vivent au Japon. Nombre d'entre eux épousent des Japonais, mais certains finissent par divorcer. Après le divorce, l'épouse japonaise obtient la garde des enfants, et même si le mari étranger souhaite les voir, elle refuse unilatéralement de les lui permettre. De plus, après le divorce, le statut de résident prend fin et le mari retourne dans son pays d'origine, ce qui peut l'empêcher de voir ses enfants. Avec l'annonce par le gouvernement japonais de son intention d'adhérer à la Convention de La Haye, la question des enfants dans les divorces internationaux est devenue une préoccupation majeure de la société japonaise. Lors de la conférence de presse, trois pères étrangers ont exprimé leurs doutes quant à la législation japonaise sur le divorce et ont évoqué la nécessité de la modifier, partageant leurs expériences.
Date et heure : vendredi 5 août 2011, 15h00-16h00
Lieu : Club des correspondants étrangers du Japon
Thème : Le droit de voir mon enfant ! --Appel d'un père étranger--
Les participants à la conférence de presse
1. Homme d'une quarantaine d'années originaire du Bangladesh (père d'un enfant)
2. Homme d'une trentaine d'années originaire de Tunisie (père de deux enfants)
3. Homme d'une vingtaine d'années originaire du Mali (père d'un enfant)
4. Directeur représentant de notre organisation, Jotaro Kato
Sponsorisé par (Activité spéciale) ASIAN PEOPLE'S FRIENDSHIP SOCIETY (APFS)